Augustus Frederick, duc de Sussex, libéral, philanthrope, mécène, lettré, premier grand maître de la Grande Loge Unie d’Angleterre (1ère partie)

Après sept décennies de brouille, les deux obédiences anglaises des Modernes (1717) & des Ancients (1750) s’unifiaient dans une Grande Loge Unie d’Angleterre. La nouvelle obédience  demeura trente ans sous le premier maillet d’Augustus Frederick de Sussex. Le prince royal (1773-1843) était le neuvième enfant et le sixième fils de George III (1738-1820), roi de Grande-Bretagne (1760) et d’Irlande (1800) et de la reine Charlotte (1738-1820), née duchesse de Mecklembourg-Strelitz. Sa mère qui l’influencera beaucoup était pieuse, vertueuse, belle, musicienne (elle fut l’élève de Johann Christian Bach), mécène (Mozart lui dédia six sonates pour clavecin KV 10 à 15), féministe notamment en matière d’éducation des filles, et botaniste distinguée. Ses quatre frères dont le duc régnant Adolf Frederick (1778-1819) étaient des maçons actifs[1]. Né le 27 janvier 1773, à Buckingham Palace, Augustus Frederick fut baptisé le 25 février par Frédéric Cornwallis (1713-1783), archevêque de Canterbury (1768), prélat latitudinariste, lettré, affable, courtois, homosexuel et franc-maçon. Sa marraine était la princesse Louise de Danemark (1750-1831), mariée au landgrave Charles de Hesse-Cassel (1744-1836), un acteur important de la vie maçonnique dans le Hanovre et le Danemark[2] . Elle fut représentée par la Lady of the Bedchamber (1ere dame de compagnie) de la reine Charlotte, mariée en 1759 à Thomas Thynne (1734-1796), 3e vicomte Weymouth, puis 1er marquis de Bath, ancien ministre et Lord d’Irlande, maçon, fils d’un grand maître anglais (1735/6). Son parrain était un de ses oncles maternels, le duc George Augustus (1748-1785) de Mecklembourg, fait maçon dans la loge napolitaine Vittoria, puis membre de la loge Irene, sise à Rostock, représenté par George W. Hervey (1721-1775), 2e comte de Bristol, ambassadeur, pair d’Angleterre et Lord du sceau privé (1768/70). Après avoir passé son

enfance dans le royaume et reçu sa première éducation, avoir été adoubé comme chevalier de l’ordre de la Jarretière avec trois de ses frères, en 1786, le prince fut envoyé cette même année en Allemagne avec deux autres princes royaux, Ernest-Augustus (1771-1851), futur roi de Hanovre et Adolphe-Frederik (1774-1850), duc de Cambridge et comte de Tipperary, afin de faire leurs études à l’Université de Göttingen, fondée par leur grand-père le roi Georges II, en 1732. Au milieu du siècle, l’établissement comptait environ 600 étudiants, majoritairement issus, de grandes familles aristocratiques allemandes. La Georgia-Augusta devint un établissement d’élite. Le cursus dit Triennium comptait six semestres. Des étudiants, venus notamment des universités de Helmstedt, d’Iéna et de Halle, amenèrent leurs usages et coutumes : affiliations à des loges, à des sociétés secrètes, à des associations corporatistes et à des groupes badins, bachiques et farceurs estudiantins comme le Lakaienorden (Ordre des laquais), mise en place d’un code d’honneur, développement des duels et pratique du Göttinger Hiebmensur (escrime spécifique). Divers futurs maçons y firent leurs études. L’écrivain et poète Adolphe Knigge (1752-1796) la fréquenta de 1769 à 1772 avant de se faire recevoir maçon dans la loge Zum Gekronen Löwen, sise à Cassel, en 1773. Le futur frère Johann Heinrich Voss (1751-1826), traducteur de classiques grecs et éditeur des pièces de Shakespeare, s’inscrivit à Göttingen en 1772 où il fonda le Göttinger Hainbund, groupe ésotérico-littéraire préromantique à caractère initiatique forestier. Plusieurs de ses anciens étudiants se feront recevoir en loge, en particulier les poètes, pasteurs et théologiens Ludwig Hölty (1748-1776), à Hanovre, Johann M. Miller (1750-1814), à Göttingen en 1774 et Johann Friedrich Hann (1753-1779), à Hambourg la même année. Le futur réformateur patriote le comte Heinrich von Stein y étudia de 1773 à 1777, avant d’être reçu dans la loge de Wetzlar. On comptait

Bemberg Fondation Toulouse – Portrait du Prince Auguste Frederick, duc de Brunswick-Luneburg, troisième fils de Georges III – Henri-Pierre Danloux – 1794 Inv.1148

également de nombreux frères parmi les professeurs comme le médecin, zoologue et poète Albrecht von Haller (1736-1756) ou l’historien et philosophe Arnold H. Heeren (1760-1842). Plus tard Adam Weishaupt (1748-1813), fondateur des Illuminaten [3], y enseignera après l’interdiction de sa société. Au demeurant Göttingen était un orient dynamique. La première loge locale avait été fondée en 1747 mais elle cessa ses travaux en 1753. En 1765 fut allumé l’atelier Augusta eu den Drei Flammen, rattachée à la Stricte Observance templière (STO)[4]. Il demeura pendant quatorze ans sous le premier maillet de Johann Ludwig Wacker (1716-1781). En 1779, il comptait 87 membres dont 18 nobles. Cette même année, le nouveau vénérable était le théologien luthérien et professeur à l’université Johann Benjamin Koppe (1750-1791). Sous son mandat, la loge quitta la STO en 1782. Entre temps en 1773 fut créée la loge Zum Goldenen Zirkel, patentée l’année suivante par la Grosse Landesloge (Berlin) sous le n° 24 et présidée par les lieutenants Johann Heinrich Meyer et Arnold Heinrich Nikolaus Behm (1738-1803).

La visite conjointe des trois princes anglo-hanovriens à l’université le 10 juillet 1786, fut pour Göttingen un événement considérable. Ils logèrent dans ce qu’on appela désormais la Maison des Princes, située Mühlenpforten-Strasse, aujourd’hui rebaptisée pour cette raison Prinzenstrasse. Des visites royales s’étaient déjà déroulées en 1748, 1765, 1768 et 1769. Le prince reçut une solide formation en latin avec l’archéologue Christian Gottlieb Heyne (1729-1829), directeur de la bibliothèque, l’allemand avec Johann Mayer, la morale avec le philosophe Johann Georg Feder (1740-1821) et la théologie par le luthérien Gottlieb Less (1736-1797).

Après son long séjour universitaire allemand, alors que ses frères recevaient une éducation militaire dans le Hanovre, Augustus Frederick gagna l’Italie pour des raisons thérapeutiques. En effet le jeune prince aimable, droit, doux et réservé souffrait d’asthme chronique. Durant l’hiver 1792/93, à Rome, , il fit la connaissance de Lady Augusta Murray (1768-1830), fille de John Murray (1730-1809), 4e comte de Dunmore, ancien gouverneur de New York (1770/1), de la Virginie (1771/6) et des Bahamas (1787/96). Elle appartenait à une illustre famille, branche cadette des Murray, marquis puis ducs d’Atholl, famille liée à la franc-maçonnerie[5]. Son neveu Alexander Murray (1804-1845), 6e comte de Dunmore, pair d’Ecosse, sera grand maître de la Grande Loge d’Ecosse de 1836 à 1838. Très amoureux l’un de l’autre, les deux jeunes gens se marièrent en secret, dans la capitale pontificale, devant un pasteur anglican, le Révérend William Gunn, le 4 avril 1793. Pour le ramener dans le droit juste, le roi lui envoya son ancien condisciple à Göttingen, le comte Ernst zu Münster (1766-1839), futur ambassadeur et franc-maçon si l’on en croit une inscription de son tombeau en forme de pyramide. Rien n’y fit. De retour en Grande-Bretagne, à l’automne 1793, conscient de la fragilité de cette première union, Augustus et Augusta se marièrent une seconde fois, le 5 décembre, en l’église anglicane Saint George Hanover Square, paroisse fondée en 1724 et qui comptait parmi ses paroissiens le compositeur George W. Haendel. Le roi et les instances publiques s’opposèrent à ce mariage. Le 4 juin 1794, l’union de Lady Mary avec une « personne inconnue » à Rome fut considérée comme nulle et non avenue par l’Arches Court, tribunal ecclésiastique d’appel de l’Eglise établie pour le diocèse de Canterbury. La nullité était renforcée par le fait que le prétendu mariage avait été célébré en territoire pontifical. La deuxième union fut annulée en aout 1794 en vertu du Royal Mariage Acta de 1772, voté par le parlement et qui soumettait tout mariage princier, selon les cas, à l’autorisation du souverain, du conseil privé et/ou des deux chambres. Malgré l’opposition de son père George III à donner son consentement à union, le prince continua à vivre avec Augusta jusqu’en 1801. Deux enfants naîtront de cette relation : le futur colonel Sir Auguste Frederick (1794-1848), nommé d’Este, un des premiers cas diagnostiqués de sclérose en claque, qui sera Junior Grand Warden de la Grande Loge Unie d’Angleterre et Augusta Emma (1801-1866) d’Este, mariée en 1845 à Sir Thomas Wilde (1782-1858), 1er Lord Truro of Bowes (1850), attorney général (1841 et 1846) et Lord chancelier (1850-1852), également franc-maçon. Exclus de la succession britannique comme enfants illégitimes, ils figureront dans celle du Hanovre sous leur nom d’Este[6]. Après sa séparation d’avec le prince, Lady Mary conserva la garde des deux enfants et reçut une pension annuelle de 4 000 livres. Le 13 octobre 1806, un brevet royal l’autorisa à porter le nom de Lady d’Ameland avec le titre de comtesse.

Le prince retourna en Italie, notamment à Turin, Naples, et Venise, voyagea en Suisse, séjourna plusieurs mois à Berlin, revint plusieurs fois en Grande-Bretagne avant d’aller au Portugal. C’est à Lisbonne qu’il apprit le 7 novembre 1801, que son père l’avait titré duc de Sussex, comte d’Inverness et baron Arklow et lui avait attribué la pairie de Grande-Bretagne. Il obtiendra durant toute sa vie une série de fonctions, grades et titres honorifiques ou réels, divers et variés. En 1804, il fut nommé au Privy Council, organe consultatif auprès du souverain.

En 1815, juste après la réforme de l’institution menée par son frère aîné le prince-régent George (1762-1830), il fut nommé par ce dernier Premier et Principal Chevalier Grand-Croix du Très Honorable Ordre Militaire du Bain. En 1830, le prince fut fait chevalier du Chardon,Ordre le plus Ancien et le plus Noble d’Ecosse, restauré en 1687. En 1837, sa nièce, la reine Victoria le nomma grand maître dudit ordre. En 1817, l’Honorable Artillery Compagny, le plus ancien régiment de l’armée britannique, patenté en 1537, le nomma capitaine général et colonel honoraire. En 1821, Plymouth, une des vingt-quatre villes qui possèdent le privilège d’attribuer ce titre honorifique municipal, le fit Lord High Steward. En janvier 1831, le roi Guillaume IV nomma son jeune frère Chief Ranger and Keeper de St James et Hyde Parks. Enfin en 1842, sa nièce lui conféra la charge non rémunérée de constable et gouverneur du château de Windsor. Néanmoins à cause de ses choix politiques et familiaux, le prince ne reçut pas autant de sinécures que ses frères, ce qui le plaçait au niveau financier dans une toute relative discrimination.

Le 2 mai 1831, il se (re)maria morganatiquement avec Lady Cecilia Gore (1785-1873), fille d’Arthur Gore (1734-1809), 2e comte d’Aran, député (1759/74), puis pair d’Irlande et d’Elisabeth Underwood, veuve en 1825 de Sir George Buggin. Ce mariage ne fut pas officiellement reconnu. Par patente royale de 1831, elle fut autorisée à se dire Lady Cecilia Underwood avant d’être titrée duchesse d’Inverness, le 10 avril 1840.

Prince cultivé, le duc de Sussex fut un grand protecteur des sciences, des lettres et des arts. Il fut d’ailleurs élu en 1816 président de la Society for the encouragements of Arts, Manufactures et Commerce, institution philanthropique et scientifique qui offrait (et offre encore) des primes et des subventions à des inventeurs, découvreurs, ingénieurs ou simples bricoleurs de talent.

Le 22 mai 1828, le prince fut admis comme fellow à la vénérable Royal Society. La célèbre institution était en relatif déclin comme le montre l’ouvrage du mathématicien, philosophe et ingénieur Charles Babbaye (1791-1871), Reflections on the decline of science in England and on some of its causes[7]. Dans ce livre, le scientifique attaquait les amateurs qui dominaient les scientifiques au sein de l’institution. En 1830, il fut difficilement élu président de la Royal Society, poste qu’il conserva jusqu’en 1838. Sussex essaya d’en redorer le blason en y faisant admettre amis et affidés, souvent francs-maçons. Ses dépenses somptuaires provoquèrent sa démission de la présidence de ladite association.

Sous son égide fut fondé en 1831 le Garrick Club[8], société londonienne, sis 13-15, Garrick Street, près de Covent Garden, à laquelle appartenaient principalement des comédiens, des écrivains, divers artistes et plusieurs juristes. Le recrutement se faisait après une sévère cooptation :

« It would be better that ten unobjectionable men should be excluded than one terrible bore should be admitted. »

Club typique de la sociabilité masculine britannique et société littéraire, le Garrick Club avait pour mission d’encourager l’art théâtral et de constituer une bibliothèque consacrée au théâtre. Toute sa vie, le prince cautionna, aida ou encouragea de nombreux clubs, sociétés et associations. Ainsi en 1822, il patronna la pose de la première pierre et la fête qui suivra de la Literary an Philosophical Society de Newcastle. Au demeurant selon John Hamill[9], il établit une sorte de record pour les inaugurations et poses de la première pierre d’hôpitaux, bâtiments publics et ponts.

Malgré ses nombreuses obligations mondaines et civiques, Sussex menait le plus souvent une vie discrète, dans son palais de Kensington, s’occupant de ses animaux et de son impressionnante collection de pendules. Imbu d’une supériorité aristocratique faite d’entêtement, de morgue et d’excentricité, mais bienveillant de nature, bon mangeur, libéral, d’une religiosité intériorisée, érudit, studieux et cultivé, le prince fut également un mécène et un bibliophile passionné. Le catalogue[10] descriptif des manuscrits et livres imprimés de la Sussexiana Bibliotheca (50 000 volumes dont un millier d’éditions diverses de la Bible) fut réalisé par Thomas Josef Pettigrew (1797-1865), chirurgien du prince, égyptologue, trésorier-fondateur de la British Archaeological Society (1843).

Cependant sous les règnes de ses deux frères George IV (1820/30) et Guillaume IV (1830/37), le duc de Sussex fut l’un des chefs libéraux. Il n’hésitait pas à présider de nombreux meetings politiques whigs. En maintes occasions, il s’opposa à son frère, Ernest August (1771-1851), duc de Cumberland et futur roi de Hanovre (1837), un des chefs de la faction ultra-conservatrice du parti tory, notamment lors du processus d’émancipation des catholiques pourtant conduit par le ministère tory de Wellington (avril 1828-novembre 1830), le vainqueur de Waterloo. Sussex soutint le vote du Catholic Relief Act du 24 mars 1829 accordant les droits civiques aux catholiques par un discours énergique à la chambre des Lords, comme il le fit pour la loi accordant les mêmes faveurs aux Juifs, votée en 1833, 1834 et 1836 par les Communes mais repoussée par les Lords, l’acte d’émancipation n’étant définitivement voté qu’en 1858. A plusieurs reprises, il manifesta un certain philo judaïsme. En 1815, il accepta le patronage du Jews’Hospital and Orphan Asyllum (actuel Norwood), organisme caritatif juif fondé en 1785. En 1817, il fit patenter par son obédience sous le n° 684, la loge francfortoise Zur Aufgehenden Morgenröte qui avait des difficultés avec ses consœurs et voisines car elle avait initié des Juifs.

Sussex apporta son appui actif au cabinet (novembre 1830-juillet 1834) de Charles Grey (1764-1845) qui fit voter le Reform Act First Parliementary (1832) supprimant les « bourgs pourris », abolissant diverses pratiques de corruption mais maintenant un suffrage masculin censitaire certes élargi (650 000 électeurs soit un homme adulte sur six) et le Slavery Abolition Act (1833), abolissant l’esclavage dans le délai de cinq ans, dans l’Empire britannique, à l’exception des territoires contrôlés par la Compagnie des Indes orientales, Ceylan et Sainte-Hélène, après une campagne de 5 000 pétitions réunissant plus d’un million et demi de signatures. Le duc s’était lancé très tôt dans le combat abolitionniste depuis son intervention aux Lords en faveur du Slave Importation Restriction Bill de 1806. Il fut aidé par son cousin Gloucester. Il mit à la disposition des mouvements anti-esclavagistes ses réseaux, sa bourse et le Freemasons’ Hall, et présidera divers meetings de l’Anti-Slavery Society (1823-1839) devenue la British and Foreign Anti-Slavery Society, à Exeter Hall.

Avec le premier ministre whig (juillet-novembre 1834 ; avril 1835-aout 1841) William Lamb (1779-1848), 2e vicomte Melbourne, il exercera une influence certaine sur les premières années de règne de la reine. Il encourage son mariage (1840) avec le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha (1819-1861). Paternaliste, pratiquant la philanthropie envers ceux qui la méritaient (selon ses critères), typique de la nobilty de son temps, opposé au radicalisme et au chartisme, sensible aux idées utilitaristes développées par Jérémy Bentham (1748-1832) et John Stuart Mill (1806-1873), Sussex appuya les quelques lois sociales votées par les libéraux, notamment la Child Labor Law de 1833 qui réglementait le travail des mineurs(interdiction en dessous de neuf ans ; limitation à huit heures avec une heure de pause et deux heures d’enseignement pour les 9-13 ans ; limitation à douze heures avec une heure de pause pour les 14-18 ans) et la Poor Law Amendment Act (New Poor Law). Ainsi sous sa grande maîtrise, même si les discussions à caractère religieux et politique demeuraient formellement interdites durant les tenues, la Grande Loge eut un engagement civique, caritatif et sociétal significatif.

Extraits de Hivert-Messeca Yves, L’Europe sous l’acacia, tome 2, Paris, Dervy, 2014, p. 179/186.

[1] Tous ces détails n’ont pas pour but de prouver une prédisposition maçonnique concoctée par les fées d’Hiram depuis le berceau du prince, mais de souligner l’importance de la franc-maçonnerie, avec d’autres institutions, dans la sociabilité élitaire du XVIIIe siècle et du XIXe siècle de l’Europe anglo-saxonne et germanico-scandinave.

[2] Cf. tome 1 de Hivert-Messeca Yves, L’Europe sous l’acacia, Paris, Dervy, 2012.

[3] Cf. premier tome.

[4] Cf. premier tome.

[5] Cf. premier tome.

[6] La maison ducale de Braunschweig (Brunswick) de laquelle vient la maison électorale du Hanovre, est issue des marquis d’Este.

[7] Londres, B. Fellowes/J. Booth, 1830.

[8] En l’honneur du grand comédien et dramaturge David Garrick anglais (1717-1779).

[9] Op. cit. , 1994, p. 94.

[10] Londres, Longmann & Co, 1827-1839.

Une réflexion sur « Augustus Frederick, duc de Sussex, libéral, philanthrope, mécène, lettré, premier grand maître de la Grande Loge Unie d’Angleterre (1ère partie) »

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